Omar Calabrese
Una cartografia biografica
La biographie d'Omar Calabrese (1949 - 2012) peut être dessinée comme une cartographie des lieux où il a été formé, où il a enseigné et avec lesquels il a eu des relations d'élection : des villes comme Florence, Bologne, Paris, Urbino vont marquer la carte scientifique et académique d'Omar Calabrese, avant son installation à Sienne, où son parcours s'est achevé.
Florence est la ville où il est né, a été formé et a obtenu son diplôme en littérature moderne avec Giovanni Nencioni. Et c'est précisément grâce à l'ouverture et à la curiosité de son professeur, de ce "prince de la langue italienne", qu'il est entré en relation avec la sémiotique, marquant définitivement son habitus mentalis. Le mémoire de fin d'études, Carosello ou enseignement en série, révèle cependant l'intérêt de Calabrese pour un autre domaine d'étude, celui de la communication de masse, qui ne cessera de réapparaître et de nourrir sa vie intellectuelle.
Ensuite Bologne, où Calabrese est arrivé en 1972. Il y a passé une vingtaine d'années décisives pour sa vie académique, d'abord comme boursier et chargé de cours, puis comme maître de conférences et professeur associé. C'est, en effet, dans cette ville qu'est né, en 1970, le Dams, cours qui accordait une pleine dignité disciplinaire à des formes d'expression définies comme non verbales, jusqu'alors laissées en marge ou totalement ignorées par les enseignements canoniques présents dans les facultés de sciences humaines. Et c'est au Dams, dans le nouvel Institut de Communication et spectacle, que Calabrese a mené sa première activité scientifique aux côtés de Tomás Maldonado et Umberto Eco, qui, à partir de 1971, a été titulaire du premier enseignement universitaire de "sémiotique". C'est précisément sur la sémiotique, plus précisément sur la sémiotique des arts visuels, que se concentre l'attention de Calabrese, développant ainsi cet intérêt qui va devenir l'un des fils conducteurs de son activité de recherche, à tel point que, devenu professeur responsable, il se voit confier l'enseignement de la "Sémiologie des arts". Ce nouveau poste a été immédiatement suivi de son transfert à l'Institut d'histoire de l'art de Bologne, intitulé à Igino Benvenuto Supino. Calabrese entre ainsi dans l'un des temples de l'histoire de l'art "canonique", surmontant la méfiance initiale des historiens de l'art les plus ancrés dans la tradition, qui regardaient avec suspicion ce jeune professeur capable d'attirer une multitude d'étudiants. En fait, ce que Calabrese propose dans ses conférences contraste avec l'enseignement le plus consolidé de l'histoire de l'art : loin de la figure des connaisseurs, il ne s'intéresse pas tant aux problèmes stylistiques, aux attributions, à la datation, aux personnalités individuelles de l'histoire de l'art, mais plutôt aux problèmes théoriques, aux mécanismes de signification et à la théorie de la peinture. Ses conférences sont très populaires, les salles de classe ne sont jamais assez grandes. Ses capacités de communication sont telles qu'elles fascinent même les sceptiques : l'exposition cristalline, même lorsque les sujets sont complexes, la passion qu'il sait transmettre impliquent totalement les étudiants dans un chemin de découverte continuelle.
Paris est un autre des feux intellectuels de son parcours. Ici, à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales, la Calabre établit des relations actives avec certains membres du Centre d’Histoire/Théorie de l’Art (CEHTA) - dont Hubert Damisch, Louis Marin, Daniel Arasse, Jean-Claude Bonne qui, bien que de manière différente, travaillent sur l'art comme "objet théorique". Toujours à l'École, Algirdas-Julien Greimas qui, depuis la fin des années 60, poursuit les bases théoriques de la sémiotique structurelle et générative, sera une rencontre décisive pour la Calabre. Autour de son Groupe de Recherches Sémio-linguistiques, gravitent plusieurs savants dont certains, comme Jean-Marie Floch et Felix Thürlemann, tournent leur regard vers le visuel. Un environnement innovant et stimulant qui a marqué l'activité intellectuelle et didactique de Calabrese au début des années 80. Le lien avec la francophonie accompagnera toute la vie de Calabrese, tant pour les échanges universitaires constants que pour les nombreuses traductions de ses livres, dont certains ont été écrits directement en français, comme les ouvrages sur l'autoportrait (2008) et le trompe-l'œil (2010), ce dernier ayant reçu le "Prix Bernier" de l'Académie des Beaux Arts - Institut de France.
Urbino doit être ajouté à la carte. Cette université, qui avait déjà vu la présence active de nombreuses personnalités internationales importantes dans le domaine de la sémiotique depuis le début des années 60, verra naitre en 1970 le Centre international de sémiotique et de linguistique, grâce à l'initiative de Carlo Bo, Giuseppe Paioni et Paolo Fabbri, offrant enfin, à travers une série de conférences et de séminaires d'été, la possibilité de proposer des recherches sémiotiques d'une grande actualité. Urbino devient ainsi un lieu d'échange exceptionnel, une forge d'idées, une sorte de "phalanstère" sémiotique de discussion et, en même temps, d'amitié, où des universitaires de différentes parties du monde dialoguent avec des collègues et des jeunes chercheurs et chercheuses. Urbino est également le lieu privilégié de dialogue avec les collègues et les collaborateurs français et c'est ici qu'a eu lieu du 6 au 11 juillet 1981 la première conférence consacrée à L'objet théorique "art", dirigée par Hubert Damisch, suivie dans les années suivantes par d'autres séminaires sur le même sujet. Parmi les participants à ces symposiums transdisciplinaires figurent Daniel Arasse, Eugenio Battisti, Jean-Claude Bonne, Hubert Damisch, Paolo Fabbri, Emilio Garroni, Rosalind Krauss, Louis Marin, Pietro Montani. Dans ces moments d'échange, Calabrese est une présence constante et un animateur infatigable, jusqu'aux dernières années. Florence, Bologne, Paris, Urbino, des lieux où, dans son âge d'or, la sémiotique manifeste sa vitalité et son pouvoir d'interprétation. Des lieux où l'on respire un air de partage intellectuel, où la participation active et constructive de Calabrese prend un rôle de premier plan pour la discipline elle-même.
Depuis 1992, Calabrese est professeur à l'université de Sienne, où il enseigne la sémiotique des arts, mais où il a également donné, pendant plusieurs années, le cours sur les théories de la communication de masse. À l'Université de Sienne, il est l'un des fondateurs de la Scuola superiore di Studi umanistici où il dirige, de 2006 à 2010, un programme doctoral novateur en "Études sur la représentation visuelle. Histoire, théorie et production des arts et des images" : dans des années où l'affirmation des études visuelles et de la théorie de l'image est encore loin d'être consolidée en Italie, Calabrese lance un programme d'enseignement supérieur à partir duquel passeront certains des chercheurs et chercheuses plus actives et actifs dans le domaine des études artistiques et de l'image : Mieke Bal, Hubert Damisch, Michael Fried, Paolo Fabbri et bien d'autres encore animent un programme de doctorat au caractère nettement interdisciplinaire. Ce sont également des années où l'engagement politique, culturel et institutionnel de Calabrese, qui avait déjà été conseiller municipal à Bologne, se poursuit : il a été conseiller pour la culture de la ville de Sienne de 1993 à 1997, conseiller de la présidence du Conseil des ministres pour l'édition et la communication et, de 1997 à 2001, recteur du Santa Maria della Scala. Il a également intensifié son activité de commissaire, en tant que conseiller culturel pour les expositions universelles de Vancouver, Brisbane, Séville, Gênes et Hanovre et en tant que commissaire d'expositions, parmi lesquelles : Vénus dévoilée. La Vénus d'Urbino du Titien (Bruxelles, 2003) ; Hypermarchés de l'art. Il consumo contestato (Sienne 2003) et les trois expositions sur L'esthétique des non-lieux organisées avec Maurizio Bettini (Bergame 2006).
Son activité dans le domaine de l'édition est également inlassable : il est rédacteur en chef du "Guide Guaraldi" de 1976 à 1979 ; rédacteur en chef de la maison d'édition Electa de 1980 à 1989 ; il a été fondateur de séries telles que "Teoria della cultura", pour la maison d'édition Esculapio à Bologne (de 1990 à 1998) et, avec Marino Livolsi, pour Mondadori Università, d'une autre série portant le même nom. Il a été rédacteur en chef de Alfabeta et Rivista Illustrata della Comunicazione ; rédacteur en chef de magazines tels que Casabella (de 1977 à 1981), Estudios Semioticos, Versus (depuis 1975), Word & Image (depuis 1987), Athanor (depuis 1989), Visio (depuis 1996). En 1984, il a fondé et dirigé Carte Semiotiche et, toujours en 1984, la revue internationale Metafore.
Sa contribution à l'avancement et au fondement même d'une sémiotique de l'art et des images a été fondamentale, mais ses contributions dans les domaines des théories des médias, du design, de la communication politique et de la culture visuelle sont tout aussi cruciales. En fait, sa production bibliographique touche tous ces domaines avec la même acuité et une large diffusion, voyant beaucoup de ses œuvres traduites dans diverses langues. Dans une cartographie idéale de sa vaste production bibliographique, on trouve tout d'abord les contributions avec lesquelles Calabrese a jeté les bases théoriques et méthodologiques d'une sémiotique des arts et de l'image depuis son livre de 1977 sur Arti figurative e linguaggio. Grâce à son travail, le chemin de la sémiotique des arts visuels en Italie est tracé avec précision. Ses débuts n'ont cependant pas été aussi linéaires, au point qu'en 1980, Calabrese lui-même constatait que, contrairement à d'autres secteurs - littérature, cinéma, théâtre et architecture - "il est décidément rare de trouver des travaux intitulés à la sémiotique de la peinture" (1980). C'est donc avec un véritable acte de courage que Calabrese donne à un recueil d'essais le titre même de Sémiotique de la peinture, commençant ainsi à définir une discipline, dont les limites sont ensuite bien délimitées par lui dans Il linguaggio dell’arte (1985). Il y reconstruit d'abord la géographie des différents courants de pensée qui considèrent l'art comme une communication - du purovisibilisme à Warburg, de l'iconologie à Gombrich, de l'esthétique au pragmatisme - et se consacre ensuite à un cadrage systématique des dernières tendances et questions, qui marquent la sémiotique naissante des arts. Suivra une série de travaux dans lesquels il explorera les objets théoriques de l'art, en privilégiant toujours une approche d'analyse textuelle qui considère la théorie comme immanente aux œuvres, notamment La macchina della pittura (1985), Piero teorico dell'arte (1986), Lezioni di semisimbolico (1999), Come si legge un'opera d'arte (2006), L'art de l'autoportrait (2006), L'art du trompe-l'œil (2010). Le domaine des médias n'était pas seulement un objet d'étude pour le Calabrese, mais un véritable champ d’activité en tant qu’auteur, dans lequel il a travaillé à la fois comme auteur de télévision et comme journaliste pour le Corriere della sera, Panorama, El Pais, La Repubblica, L’Unità. Nous devons à Calabrese quelques titres pionniers sur les langages des médias : Carosello (1975), Come si vede il telegiornale (avec Ugo Volli, 1979), I giornali (avec Patrizia Violi, 1980) et I telegiornali. Istruzioni per l’uso (toujours avec Ugo Volli, 1995). Son titre probablement le plus célèbre est l'étude consacrée au baroque en tant que forme trans-historique et à l'hypothèse selon laquelle, à travers ce prisme, nous pourrions saisir des zones de cohérence dans la culture des années 80, c'est L’età Neobarocca (1987) suivi d'une suite idéale avec Mille di questi anni (1991). Calabrese a également été l'un des premiers universitaires à souligner l'importance de la communication politique et à affirmer la nécessité d'une approche systématique dans ce domaine : outre de nombreux articles et l'activité de conseiller de communication politique, il écrit l'un des premiers textes entièrement consacrés à ce thème : Come nella boxe (1999). Calabrese a également été l'un des plus grands explorateurs de ce que l'on appelait autrefois la "culture de masse", mais qu'il serait plus correct d'identifier au grand domaine d'étude de la culture visuelle. Dans ce domaine, Calabrese s'est essayé à des analyses devenues paradigmatiques sur le langage publicitaire, la mode et l’ethnologie de la culture populaire, on se souvient de : Garibaldi tra Ivanhoe e Sandokan (1982), Serio ludere (1993), Il mito di Vespa (1996), Vanitas. Lo stile dei sensi (avec Gianni Versace 1991).
Aucun profil biographique ne serait complet sans rappeler les qualités humaines d'Omar, son extraordinaire ironie, l'exquis sens de l'hospitalité avec lequel il accueillait ses amis et ses élèves affectionnés chez lui à Monteriggioni, son profond respect pour l'université et l'enseignement, qui a fait de lui un professeur présent, brillant, passionné et limpide dans la transmission des nœuds théoriques les plus complexes, ainsi que toujours doué d'une capacité instinctive et extraordinaire de contact et de communication.
Bibliografia delle opere di Omar Calabrese
Articolata secondo le due tematiche proprio dell’autore, la prima sezione registra gli scritti teorici di semiotica e di semiotica delle arti, nonché i saggi su singoli artisti. La seconda è dedicata alle comunicazioni di massa e annovera gli studi che l’autore ha dedicato alla società, alla moda, alla televisione, alla pubblicità. Non sono inclusi in questa scelta gli articoli giornalistici e le presentazioni che non costituiscono un saggio a sé.
1. Semiotica, semiotica delle arti visive (pittura, arte, cinema)
Libri
1975 con Egidio Mucci, Guida alla semiotica, Firenze, Sansoni, 295 p.
1977 Arti figurative e linguaggio, Firenze, Guaraldi, 155 p.
1983 con Renato Giovannoli, Isabella Pezzini, Hic sunt leones: geografia fantastica e viaggi straordinari, Milano, Electa, 119 p.
1985a Il linguaggio dell’arte, Bompiani, Milano, 262 p.
1986 A linguagem da arte, Lisboa, Presença, 190 p.
1987 El lenguaje del Arte, Barcelona, Paidós Iberica Ediciones, 79 p.
1987 A linguagem da arte, Rio de Janeiro, Globo, 254 p.
2001 ジャンニ・ベェルサーチ衣装文化展, Tokyo, Jiritsu-Shobo, 134 p.
1985b La macchina della pittura, Bari, Laterza, 302 p.
1987 L’età neobarocca, Bari, Laterza, pp. 214
1987 A idade neobarroca, Lisboa, Edições 70, 209 p.
1988 A idade neobarroca, São Paulo, Martins Fontes, 209 p.
1989 La era neobaroca, Madrid, Ediciones Cátedra, 216 p.
1992 Neo-Baroque Age. A Sign of the Times, Princeton NJ, Princeton University Press, 219 p.
1989 con Lucia Corrain, Umberto Eco, Le figure del tempo, Milano, Mondadori, pp. 255.
1992 El tiempo en la pintura, Mondadori Espana, Madrid, 254 p.
1990 con Carlo Maier, Hubert Damisch, Musica e pittura, Milano, Mondadori, 151 p.
1991 Caos e bellezza. Immagini del neobarocco, Milano, Domus Academy, 157 p.
1993 Cómo se lee una obra de arte, Madrid, Ediciones Cátedra, 128 p.
1999 Lezioni di semisimbolico, Siena, Protagon, 117 p.
2001 Breve storia della semiotica, Milano, Feltrinelli, 160 p.
2002 con Maurizio Bettini, BizzarraMente: eccentrici e stravaganti dal mondo antico alla modernità, Milano, Feltrinelli, 272 p.
2003 Tiziano. La Venere di Urbino, Cinisello Balsamo, SilvanaEditoriale, 63 p.
2003 Duccio e Simone. La maestà come manifesto politico, Cinisello Balsamo, SilvanaEditoriale, 63 p.
2005 Comunicarte. Storia dell’arte, storia delle idee, Le Monnier Scuola, Firenze, 192 p.
2006 Comunicarte. Arte antica, Le Monnier Scuola, Firenze, 192 p.
Comunicarte. Medioevo, Le Monnier Scuola, Firenze,192 p.
Comunicarte. Rinascimento, Le Monnier Scuola, Firenze,192 p.
Comunicarte. Barocco e rococò, Le Monnier Scuola, Firenze,192 p.
Comunicarte. Ottocento, Le Monnier Scuola, Firenze,192 p.
Comunicarte. Novecento, Le Monnier Scuola, Firenze,192 p.
2006 con Maurizio Bettini, Maurizio Boldrini, Gabriella Piccinni, Miti di città, Siena, Salvietti e Barabuffi Editori, 448 p.
2008 L’art de l’autoportrait, Paris, Citadelles & Mazenod, 400 p.
2008 Artist’s Self-Portraits, Abbeville Press, New York, 392 p.
2008 Die Geschichte des Selbstbildnis, Hirmer Verlag, Berlin, pp. 390.
2010 L’autoritratto, Firenze, La casa Usher, 395 pp.
2008 Come si legge un’opera d’arte, Mondadori Università, Milano, pp. 156.
2008 con Achille Bonito Oliva, Mario Ceroli, Forme in movimento, Siena, Protagon, 117 p.
2010 L’art du trompe-l’œil, Paris, Citadelles & Mazenod, pp. 440.
2011 Il trompe-l’œil, Milano, Jaka Book, pp. 400.
2012 con Vittorio Giudici, Art. Dalla preistoria al gotico, Le Monnier Scuola, Firenze, 456 p.
Art. Da Giotto al Settecento, Le Monnier Scuola, Firenze, 408 p.
Art. Dall’Ottocento a oggi, Le Monnier Scuola, Firenze, 504 p.
Volumi a cura di:
1974 Bibliografia semiotica, a cura di Omar Calabrese, Patrizia Magli, Ugo Volli, «Versus», 8-9, 280 pp.
1980 Semiotica della pittura, a cura di Omar Calabrese, Milano, Il Saggiatore, 140 pp.
1985 Piero teorico dell’arte, a cura di Omar Calabrese, Roma, Gangemi, 302 pp.
1985 Fortuna degli Etruschi, a cura di, Franco Borsi, Gabriele Morolli, Omar Calabrese, Firenze, Electa.
1993 La ricerca semiotica, a cura di Omar Calabrese, Susan Petrilli, Augusto Ponzio, Bologna, Esculapio, 290 pp.
1994 Karl Rosenkranz. Estetica del brutto, a cura di Omar Calabrese, Milano, Edizioni Olivares, 256 pp.
2003a Vénus dévoilée. La Vénus d’Urbino du Titien/Venere svelata. La Venere d’Urbino di Tiziano, a cura di Omar Calabrese, Cinisello Balsamo, Silvana Editoriale, 331 pp.
2003b Persone. Ritratti di gruppo da Van Dyck a De Chirico, a cura di Omar Calabrese, Claudio Strinati, Cinisello Balsamo, Silvana Editoriale, 254 pp.
2004 Ipermercati dell’arte. Il consumo rappresentato, il consumo ironizzato, il consumo contestato, a cura di Omar Calabrese, Cinisello Balsamo, SilvanaEditoriale, 191 pp.
2005 Italia linguistica: discorsi di scritto e di parlato. nuovi studi di linguistica italiana per Giovanni Nencioni, a cura di Marco Biffi, Omar Calabrese, Luciana Salibra, Siena, Protagon, 334 pp.
2006 Hic sunt leones: estetica dei non luoghi, a cura di Omar Calabrese, Maurizio Bettini, Acciaierie Arte Contemporanea, Milano, Skira, 88 pp.
2007 Nowheremen: estetica dei non luoghi, a cura di Omar Calabrese Maurizio Bettini, Acciaierie Arte Contemporanea, Milano, Skira, 120 pp.
2009 Fra parola e immagine: metodologie ed esempi di analisi, a cura di Omar Calabrese, Milano, Mondadori Università, pp. 233.
Saggi
1975 “Parola, immagine, ideologia, scienza dei segni: alla ricerca del codice della «poesia visiva»”, ES, 3, pp. 127-136.
1976 “Presupposti teorici della semiotica dell’arte in Italia”, Il Verri, 10-11, pp. 153-159.
1977 “Nuovi appunti sull’iconicità”, Comunicazione visiva, 1, pp. 15-18.
1978 “La semiotica dell’architettura in Italia”, Casabella, 278, pp. 52-57.
1979 “Modelli culturali e modelli interpretativi della semiotica delle arti”, Il Verri, 13-16, pp. 299-308.
1980a “Semiotica della pittura. Riflessioni sullo stato dell’arte, e qualche ulteriore proposta”, Semiotica della pittura, Milano, Il Saggiatore, pp. 1-26.
1980b “From a Semiotics of Painting to a Semiotic of Pictorial Text”, Versus, 25, pp. 3-27.
1981a “Uno sguardo sul ponte”, Casabella, 469, pp. 55-59.
1981b “Temi generali”; “Uno sguardo sul ponte”, in Tomás Maldonado, a cura di, Paesaggio. Immagine e realtà, Milano, Electa, pp. 295-296; pp. 314-319.
1981c “L’enunciazione in pittura”, in Semiotica dell’enunciazione, Pavia, Editoriale mcm, pp. 120-131.
1981d “La sintassi della vertigine: sguardi, specchi, ritratti”, Versus, 29, pp. 3-31.
1982a “Lector in tabula. Verso una teoria semiotica dei generi in pittura”, Rivista di Estetica, 22, 11, pp. 93-102.
1982b “Il cottage del signor Landor”, Rivista di Estetica, 22, 12, p. 155-165.
1982c “Arte e olografia”, Fotografiatridimensionale, Palazzo Fortuny, Venezia, pp. 32-39.
1982d “Geografie del ritratto”, in Silvio Pasotti: Grand tour, Electa, Milano, pp. 7-46.
1983a “La grafica: una posologia progettuale?”, Rassegna, III, 6, pp. 22-25.
1983b “Quattro a Verbania (per non parlare del lago)”, in Quattro a Verbania. Basilico, Zoppis, Ghirri, Radino, Electa, Milano, pp. 10-21.
1983c "Candyde", in Silvio Pasotti, Catalogo della mostra alla Galleria Schubert, Milano.
1984a “La geografia di Warburg. Note su linguistica e iconologia”, Aut-Aut, 199-200, pp. 109-120.
1984b “Il problema del colore nei trattati d’arte del Cinquecento”, Versus, 37, pp. 19-33.
1984c “Catastrofi e teoria dell’arte”, Lectures, 14, pp. 45-62.
1984d “Forme della temporalizzazione nelle storie bibliche di Giovan Battista Piazzetta”, in Paolo Fabbri, Jacques Geninasca, Jean Petitot, a cura di, Semiotica: attualità e promesse della ricerca, Bellinzona, Edizioni Casagrande.
1984e “L’intertestualità in pittura”, Documenti di lavoro e prepubblicazioni, Centro Internazionale di Semiotica e Linguistica, Urbino (trad. spagnola in Documentos de trabajo, Universidad de Valencia).
1984f “I replicanti”, in Francesco Casetti, a cura di, L’immagine al plurale. Serialità e ripetizione nel cinema e nella televisione, Venezia, Marsilio, pp. 63-83.
1985a “Introduzione”, in Omar Calabrese, a cura di, Piero teorico dell’arte, Roma, Gangemi, pp. 7-10.
1985b “Note sul dispositivo formale della Storia della vera croce di Piero della Francesca ad Arezzo”, in Omar Calabrese, a cura di, Piero teorico dell’arte, Roma, Gangemi, pp. 155-171.
1985c “La fotografia come testo e come discorso”, Figure. Teoria e critica dell’arte, 3, n. 10-11, pp. 3-7.
1985d con Lucia Corrain, “Photographie ou Photographies?”, “Fotografie/fotografie?”, in Omar Calabrese, a cura di, L’Italie aujourd’hui/Italia oggi, Firenze, La casa Usher, pp. 119-123.
19855 “I ‘mondi possibili’ in Kubrick. Ovvero: la poetica delle porte”, in Gian Piero Brunetta, a cura di, Stanley Kubrick, Parma, Pratiche, pp. 33-44.
1985f “Il bridge: un’allegoria semiotica”, Versus, 42, pp. 37-61.
1986a “I replicanti”, Cinema & Cinema, 49, pp. 63-83.
1986b “Teaching Art History Methods”, in Lucia Lazotti, Giuliana Bertoni Del Guercio, a cura di, Contemporary Art in Secondary School: Current Issue in Education, Roma, Quaderni di Villa Falconieri-Cede, pp. 84-96.
1986c “Il linguaggio del cinema. il film come opera teorica nelle geometrie di un grande regista”, Prometeo, 16, pp. 94-102.
1987a “Falsi d’arte”, Versus, 46, pp. 77-81.
1987b “Passioni e valori: un’economia dell’esistenza semiotica”, Versus, 47-48, pp. 15-22.
1987c “Problèmes d’énonciation abstraite”, Actes Sémiotiques. Bulletin, X, 44, Décembre, pp. 35-40.
1987d “Dettaglio e frammento”, Metafore, 1.
1987e “Le forme astratte del realismo”, Quaderni del Circolo Semiologico Siciliano, 25, pp. 13-21.
1987f “Passioni e valori: un’economia dell’esistenza semiotica”, Versus, 47-48, pp. 15-22.
1988a “L’evidente finestra segreta di Piero”, in Alessandro Falassi, a cura di, La cifra e l’immagine, Siena, Provincia di Siena, pp. 19-30.
1988b “La forma della complessità: avvento di una società neobarocca?”, in Giuseppe Barbieri, Paolo Vitali, a cura di, La ragione possibile, Feltrinelli, Milano, pp. 193-205.
1988c “Semiotica della fotografia”, Figure. Teoria e critica dell’arte, 5-6, pp. 18-27.
1988d “Ipse dixit”, in Omar Calabrese, Lucia Corrain, a cura di, L’autoritratto non ritratto nell’arte contemporanea italiana, Bologna, Essegi, pp. 5-11.
1988e “Renzo Piano. Pompei, progetto per la città del tesoro”, in Umberto Eco, Federico Zeri, Carlo Bertelli, Le isole del tesoro: proposte per la riscoperta e la gestione delle risorse culturali, Milano, ibm Italia-Electa, pp. 107-112.
1989a con Betty Gigante, “La signature du peintre”, La part de l’œil, 5, pp. 16-25.
1989b “Metodi e non metodi in storia dell’arte”, Carte Semiotiche, 6, pp. 100-112.
1989c “Kubrick pittore”, Cinema & Cinema, 54-55, pp. 103-110.
1989d “L’iconologia della monaca di Monza”, in Giovanni Manetti, a cura di, Leggere i Promessi Sposi, Milano, Bompiani, pp. 299-312.
1989e “Quijot”, in Quijote. Oli e disegni di Beppe Vesco, Firenze, La casa Usher, pp. …
1990a “Dalla critica manierista a quella barocca”, Cinema & Cinema, 58, pp. 55-62.
1990b “La tecnologia umanistica di Plessi”, in Plessi, Treviso, Canova, pp. 85-89.
1990c “Bref sémiotique de l’infini”, in Peter Fröhlicher, Georges Günter, Felix Thürlemann, a cura di, Espaces du texte. Recueil d’hommages pour Jacques Geninasca, La Baconnière, Neuchâthel.
1990d “Breve semiótica del infinito”, Revista de Occidente, 105, pp. 31-44.
1990e “El fanfarrón”, Los Cuadernos del Norte. Revista cultural de la Caja de Ahorros de Asturias, 11, 57-59, pp. 16-17.
1990f “Musica e pittura: due arti, una morfologia”, in Omar Calabrese, Hubert Damisch, Carlo Maier, Musica e pittura, Milano, Mondadori, pp. 7-25.
1990g “Chiromanzia di Michelangelo”, Athanor, 1, pp. pp. 19-26.
1991a “Problemi di enunciazione astratta”, in Lucia Corrain, Mario Valenti, a cura di, Leggere l’opera d’arte. Dal figurativo all’astratto, Bologna, Esculapio, pp. 161-164.
1991b “El problema del color en los tratados de arte del cinquecento: un capítulo de historia semiótica”, Revista de Estética, 8, pp. 55-68.
1991c “Rappresentazione della morte e morte della rappresentazione”, in Isabella Pezzini, a cura di, Semiotica delle passioni, Bologna, Esculapio, pp. 97-108.
1991d “Rappresentazione della morte e morte della rappresentazione”, Athanor, 2, pp. 20-30.
1991e “Representación de la muerte y muerte de la representación”, Revista de Occidente, 118, pp. 41-60.
1991f “Breve semiotica dell’infinito”, Versus, 58, pp. 51-64.
1991g “Imaginaire geografie”, in Sorin Alexandrescu, Herman Parret, Ton Quik, a cura di, Hemel en Aarde. Werelden van Verbeelding, Amsterdam, Benjamins, pp. 59-66.
1991h “Neobarroco”, Atlántica. Revista de arte y pensamiento, 1, pp. 25-31.
1991i “L’estasi semiotica di Ejzenstein” in Pietro Montani, a cura di, Sergej Ejzenstein: oltre il cinema, Pordenone, Edizioni Biblioteca dell’immagine, pp. 411-418.
1991j con Giovanna Grignaffini, “La donna fatale nel cinema”, in Grazietta Buttazzi, Anna Mottola Molfino, La donna fatale, De Agostini, Novara, pp. 63-88.
1991k “La quiromancia”, Revista de Occidente, 117, pp. 5-16.
1992a “Bruno Pinto: autoanalisi”, in Bruno Pinto. Per uscire dalla valle: critica di me stesso, Firenze, La casa Usher, pp. 7-10
1992a “Aspetti dell’Annunciazione”, in Bologna. La cultura italiana e le letterature straniere moderne, Ravenna, Longo, pp. 203-216.
1992b “Lo spazio dell’Annunciazione”, in Patrizia Magli, Giovanni Manetti, Patrizia Violi, a cura di, Semiotica: storia, teoria, interpretazione. Saggi intorno a Umberto Eco, Milano, Bompiani, pp. 393-412.
1993a “L’idée du beau dans la culture italienne actuelle”, in Christian Descamps, a cura di, Le beau aujourd’hui, Centre Georges Pompidou, Paris, pp. 147-153.
1993b “Chiromanzia di Michelangelo”, in Augusto Gentili, a cura di, Il ritratto e la memoria: materiali, Roma, Bulzoni, pp. 241-247.
1993c “Limite et excés”, in Herman Parret, a cura di, Ligne, Frontière, Horizon, Mardaga, Liège, pp. 91-99.
1993d “Grenz en overschrijding”, in Herman Parret, a cura di, Lijn, Grens, Hrizon, Kritak, Amsterdam-Leuven, Meulenhof-Kritak, pp. 84-92.
1993e “Bodegòn. La simulazione del cavolo”, Carte Semiotiche, 1 N. S., pp. 103-115.
1993f “La semiotica: una disciplina della qualità”, in Omar Calabrese, Susan Petrilli, Augusto Ponzio, a cura di, La ricerca semiotica, Bologna, Esculapio, pp. 1-35.
1993g “La temporalité plastique comme formant de style”, in Herman Parret, a cura di, Temps et discours, Louvain, Presses Universitaires de Louvain, pp. 247-257.
1994a “Nuovo futurismo = New futurism”, in Renato Barilli, a cura di, Nuovo futurismo: Abate, Innocente, Lodola, Plumcake, Postal, Electa, Milano, pp. 32-37.
1994b Giampaolo Di Cocco: relitti, Firenze, Institut Français, 71 p.
1995a “La información y el espectador””, in Omar Calabrese, Armando Silva, Ugo Volli, Los juegos de la imagen, Istituto italiano di cultura, Bogotá, pp. 129-143.
1995b “La Véronique de Zurbaràn. Un ritual figuratif”, La part de l’œil, 11, pp. 35-44.
1996a “Pablo Picasso et Les Ménines de Valàzquez”, Visio, 1-2, pp. 25-30.
1996b “Invisibile: indicibile?”, in Lucia Corrain, Semiotica dell’invisibile. Il quadro a lume di notte, Bologna, Esculapio, pp. xi-xiii.
1999a “La Veronica di Zurbarán: un rituale figurativo”, in Lucia Corrain, a cura di, Leggere l’opera d’arte II, Bologna, Esculapio, pp. 43-50.
1999b “La memoria geroglifica. Riflessioni semiotiche sul frontespizio dei Principi di Scienza Nuova di Giambattista Vico, in Pierluigi Basso, Lucia Corrain, a cura di, Eloquio del senso. Dialoghi semiotici per Paolo Fabbri, Genova, Costa&Nolan, pp. 324-336.
2000 “Lo strano caso dell’equivalenza imperfetta”, Versus, 85-87, pp. 101-120.
2001 “Brandi e la teoria della pittura”, in Cesare Brandi. Teoria ed esperienza dell’arte, Milano, Silvana Editoriale, pp. 81-87.
2002a “Lo sguardo in pittura: un’economia della visione”, in Lezioni di metodo. Saggi in onore dei settant’anni di Lionello Puppi, Venezia, Biblioteca Marciana.
2002b “Cinema e televisione: un problema di traduzione”, Carte di cinema, 9, pp. 25-31.
2002c "...", in Omar Calabrese (a cura di), Daniele Lombardi: musica inaudita, Siena, Protagon.
2003a “Introduzione”, in Keith Haring a Pisa: cronaca di un murales, Pisa, ETS, pp. 1-9.
2003b “Semiotic Aspects of Art History”, in Roland Posner, a cura di, Semiotics. A Handbook on the Sign Theoretic Foundations of Nature and Culture, De Gruyter, Berlin, pp. 310-324.
2003c “Preface/Introduzione”, in Omar Calabrese, a cura di, Vénus dévoilée. La Vénus d’Urbino du Titien/Venere svelata. La Venere d’Urbino di Tiziano, Cinisello Balsamo, SilvanaEditoriale, pp. 16-17.
2003d “La Vénus d’Urbino du Titien/La Venere d’Urbino di Tiziano”, in Omar Calabrese, a cura di, Vénus dévoilée. La Vénus d’Urbino du Titien/Venere svelata. La Venere d’Urbino di Tiziano, Cinisello Balsamo, SilvanaEditoriale, pp. 31-47.
2003e “Il ritratto di gruppo e la questione dell’identità collettiva”, in Omar Calabrese, Claudio Strinati, a cura, Persone. Ritratti di gruppo da Van Dyck a De Chirico, Cinisello Balsamo, SilvanaEditoriale, pp. 19-28.
2003f “…”, in Traccia d’artista: Fabio De Poli, Firenze, La Biblioteca.
2004a “La rappresentazione delle nuvole”, in Giuseppe Barbieri, a cura di, I Quattro elementi in Trentino, Vicenza, Terra Ferma, pp. 28-39.
2004b “Picàzquez. Ovvero: chi è l’autore de Las Meninas?”, Carte semiotiche, 6-7, pp. 9-21.
2005a “Picàzquez o quièn es el autor de Las Meninas”, Tópicos del Seminario, 13, pp. 25-37.
2005b “Tradizione e innovazione”, in Beppe Vesco, Prato, Gli ori, pp. 25-32.
2005c “Il semi-simbolico”, in Anna Maria Lorusso, a cura di, Semiotica, Milano, Raffaello Cortina, pp. 261-271.
2005d “Tempo”, in Giuseppe Brusa, a cura di, La misura del tempo: l’antico splendore dell’orologeria italiana dal XV al XVIII secolo, Trento, Provincia Autonoma di Trento, pp. 15-21.
2006a “La forma dell’acqua”, Carte semiotiche, 9-10, pp. 31-46.
2006b “La forma del agua (o como se ‘liquida’ la representación en el arte contemporáneo)", Revista de Occidente, 306, pp. 187-219.
2006c “La grafica dei manifesti cubani”, in Andrea Bosco, Elena Scantamburlo, a cura di, Buena vista. Mezzo secolo di grafica cubana, Mazzotta, Milano, pp. 17-20.
2006d “L’immaginazione e le sue geografie”, in Maurizio Bettini, Omar Calabrese, a cura di, Voi (non) siete qui: estetica dei non luoghi, Acciaierie Arte Contemporanea, Milano, Skira, pp. 9-16.
2007a “La fotografia come testo e come discorso”, in Claudio Marra, a cura di, Le idee della fotografia. La riflessione teorica dagli anni sessanta a oggi, Milano, Bruno Mondadori, pp. 158-163.
2007b “El lujo: seis figuras ejemplares para una iconografia de la riqueza”, Revista de Occidente, 318, pp. 9-26.
2007c “Non-persone: il problema dell’identità nell’arte contemporanea”, in Omar Calabrese, Maurizio Bettini, a cura di, Nowheremen: estetica dei non luoghi. Acciaierie Arte Contemporanea, Milano, Skira, pp. 21-36.
2008a “La battaglia sacra: un tema iconografico in cerca della propria figuralità”, in Nicola Dusi, Gianfranco Marrone, a cura di, Destini del sacro. Discorso religioso e semiotica della cultura, Roma, Meltemi, pp. 119-128.
2008b “Metafore del libro in Anselm Kiefer/The Metaphore of the Book in the Work of Anselm Kiefer”, in Anselm Kiefer Die Grosse Fracht, Prato, Gli Ori, pp. 7-16.
2009a “Cultura della natura e natura della cultura in un insolito affresco medievale”, in Clemens Carl Härle, a cura di, Confini del racconto, Roma, Quodlibet, pp. 45-56.
2009b “Lo strano caso dell’equivalenza imperfetta (modeste osservazioni sulla traduzione intersemiotica)”, in Omar Calabrese, a cura di, Fra parola e immagine: metodologie ed esempi di analisi, Milano, Mondadori Università, pp. 7-29.
2009c “Tempi, luoghi e soggetti dell’Annunciazione”, in Daniel Arasse. L’Annunciazione italiana. Una storia della prospettiva, Firenze, La casa Usher, pp. 7-16.
2009d “La forma de la isla (de nunca jamás)”, Revista de Occidente, 343, pp. 13-32.
2010 “Poe illustratore di Possenti”, in Antonio Possenti, Con Edgar Allan Poe. Su venticinque racconti fantastici, Usher arte, Firenze, pp. 14-19.
2011a “Esiste una visibilità dell’impertinenza?”, in Giulia Ceriani, Eric Landowski, a cura di, Impertinenze, et al., Milano, pp. 57-69.
2011b “L’arte popolare: un piccolo contributo di metodo”, in Alessandro Falassi, a cura di, Almanacco delle feste e dei giochi nelle terre di Siena, Siena, Betti, pp. 32-48.
2011c “The bridge: suggestions about the meaning of a pictorial motif”, Journal of Art Historiography, 5, December, pp. 1-14.
2011d “Il trompe-l’œil: è corretto parlare di inganno per gli occhi?”, Carte Semiotiche, 12, pp. 12-30.
2011e “…”, in Valerio Adami. Teoria e pratica dell’arte, La casa Usher, Firenze.
2012a “Il velo. Oggetto teorico della diafanità”, in Patrizia Magli, Angela Vettese, a cura di, Diafano. Vedere attraverso, Zel Edizioni, Treviso, pp. 26-35.
2012b “Kubrick et l’art des images” / “Kubrick en de kunst van het beelds”, in Stanley Kubrick Photographer, Catalogue exposition Musée Royaux des Beaux-Arts de Belgique, Bruxelles 21 mars-1 Juillet 2012, direction Michel Draguet, Giunti Arte Mostre e Musei, Firenze.
2. Comunicazioni di massa (pubblicità, società, televisione, moda)
Libri
1974 Carosello o dell’educazione serale, Firenze, Clusf, 161 p.
1976 con Eliana Pilati, Tradizioni popolari e cultura etnomusicale, Firenze-Rimini, Guaraldi, 121 p.
1978 con Tomas Maldonado, Università: la sperimentazione dipartimentale, Firenze-Rimini, Guaraldi, 147 p.
1979 con Patrizia Violi, I giornali. Guida alla lettura e all’uso didattico, Roma, L’Espresso Strumenti, 183 p.
1980 con Ugo Volli, Come si vede il telegiornale, Bari, Laterza, 158 p.
1982 Garibaldi: tra Ivanhoe e Sandokan, Milano, Electa, 210, p.
1989 con Sandra Cavicchioli, Isabella Pezzini, Vuoto a rendere. Il contenitore slittamenti progressivi di un modello televisivo, Roma, Eri, pp. 144.
1991 Mille di questi anni, Bari, Laterza, 232 p.
1993a Serio ludere. Sette serissimi scherzi semiotici, Palermo, Flaccovio, 120 pp.
1993b con Gianni Versace, Versace Signatures, Milano, Leonardo, 255 pp.
1995a con Ugo Volli, I telegiornali. Istruzioni per l’uso, Bari, Laterza, 261 p.
1995b con Pierluigi Basso, Orsola Mattioli, Francesco Marsciani, Le passioni nel serial tv, Roma, Eri, 201 pp.
1999 Come nella boxe. La politica nell’era della televisione, Bari, Laterza, 128 pp.
Libri a cura
1979 Il linguaggio della comunicazione visiva, a cura di Omar Calabrese, Milano, me/di Sviluppo, 29 pp.
1982 1860-1900. Dall’unità al nuovo secolo. Italia moderna. Immagini e storia di un’identità nazionale, a cura di Omar Calabrese, vol. I, Milano, Electa, 555 p.
1983 1900-1939. Dall’espansione alla seconda guerra mondiale. Italia Moderna. Immagini e storia di un’identità nazionale, a cura di Omar Calabrese, vol. II, Milano, Electa, pp. 555.
1984 1939-1960. Guerra, dopoguerra, ricostruzione, decollo. Italia Moderna. Immagini e storia di un’identità nazionale, a cura di Omar Calabrese, vol. III, Milano, Electa, 555 p.
1985a 1960-1980. La difficile democrazia. Italia Moderna. Immagini e storia di un’identità nazionale, a cura di Omar Calabrese, vol. IV, Milano, Electa, 553 p.
1985b L’Italie aujourd’hui/Italia oggi, a cura di Omar Calabrese, Firenze, La casa Usher, 274 p.
1991 Vanitas: lo stile dei sensi, a cura, di Omar Calabrese, Gianni Versace, Milano, Leonardo, 219 p.
1995 Piaggio. Il libro della comunicazione, a cura di Omar Calabrese, Maurizio Boldrini, Pontedera, Piaggio, 188 p.
1996 Il mito di Vespa, Milano, Lupetti, 161 p.
1988a Il libro dell’Ape, a cura di Omar Calabrese, Marino Livolsi, Piaggio, Pontedera, 102 p.
1988b Il modello italiano: le forme della creatività, a cura di Omar Calabrese, Milano, Skira, 173 p.
Saggi
1974a “Il ‘fenomeno’ Carosello”, Sipra, 6, pp. 91-100.
1974b “Pubblicità diurna permanente”; “Pubblicità diurna temporanea”; “Vetrinistica”, in Lamberto Pignotti, PubbliCittà, Clusf, pp. 33-38; 45-47; 62-66.
1976 “Fascio e fumetto, ovvero la reazione di contrabbando”, in Luigi Allegri, Sergio Bernardi, Maria G. Lutzemberger, a cura di, Cultura, comunicazioni di massa e lotta di classe, Roma, Savelli, pp. 128-135.
1977 “La politica delle comunicazioni”, in Natalino Ronzitti, a cura di, L’Italia nella politica internazionale, Milano, Edizioni di Comunità, pp. 305-320.
1978 “Marxismo in serie”; “Il nuovo galateo”, in Lamberto Pignotti, Il supernulla. Ideologia e linguaggio della pubblicità, Rimini-Firenze, Guaraldi, pp. 58-80; pp. 131-160.
1979 “Cultura e ideologia nella ricerca italiana sui mass-media. Le riviste”, Problemi della Transizione, 1, pp. 31-38.
1984a con Patrizia Violi, “Il giornale come testo”, in Marino Livolsi, a cura di, La fabbrica delle notizie, Milano, Angeli, pp. 104-151.
1984b “Nuova destra e cultura reazionaria negli anni ottanta”, in Quaderni dell’Istituto per la Resistenza in Piemonte, Cuneo, pp. 115-130.
1984c “Pippo Baudo”, in Perché loro?, Bari, Laterza, pp. 64-75.
1985a “Raffaella Carrà”, in Perché lei?, Bari, Laterza, pp. 47-62.
1985b “Armando Testa e la pubblicità italiana”, in Armando Testa: il segno e la pubblicità, Milano, Mazzotta, pp. 13-18.
1986 “Perdere la partita, vincere al gioco”, Lectures, 1, 18, pp. 17-40.
1987 “Cultura pesante, cultura snella”, in Alberto Terzi, a cura di, Consumatori con stile. L’evoluzione dei consumi in Italia, 1940-1986, Milano, Longanesi, pp. 51-72.
1988a “Nuovi ritmi, nuovi miti”, in Marco Manzoni, Sergio Scalpelli, a cura di, Velocità. Tempo sociale, tempo umano, Milano, Guerini Associati, pp. 80-92.
1988b "Appunti per una storia dei giovani in Italia", in Philippe Ariès, Georges Duby, a cura di, La vita privata. Il Novecento», Roma-Bari, Laterza, pp. 79-106.
1990 “Una nota sul linguaggio della moda”, in Silvio Fuso, Sandro Mescola, a cura di, Il guardaroba di una cantante: vestiti e costumi del primo Novecento, Venezia, Palazzo Fortuny, pp. 8-11.
1991 “Lo stile degli stilisti”, in Patrizia Calefato, a cura di, Moda e mondanità, Bari, Palomar, pp. 195-204.
1992a “Mitologie dell’amore”, in Giuseppe Macchi, a cura di, L’amore, Milano, Mazzotta, pp. 19-28.
1992b “I mass-media tra sviluppo dell’informazione e organizzazione del consenso”, in Nicola Tranfaglia, Massimo Firpo, a cura di, La storia, vol. VII, Torino, Utet.
1992c in Alessandro Rovinetti, a cura di, Quando i muri parlano: vent’anni di manifesti del Comune di Bologna. 1972-1992, Casalecchio di Reno, Grafis, ….
1993a “Invenzioni e trasformazioni della cultura di massa”, in La storia, vol. X, Torino, Utet.
1993b “Armando Testa e la pubblicità televisiva”, in Germano Celant, a cura di, Armando Testa: una retrospettiva, Milano, Electa, pp. 18-29.
1995 “Il serial televisivo: la passione delle passioni”, in Pierluigi Basso, Orsola Mattioli, Francesco Marsciani, Le passioni nel serial tv, Roma, Eri, pp. 9-22.
1998 “L’utilitaria”, in Mario Isnenghi, a cura di, I luoghi della memoria, Bari, Laterza. (ed. aggiornata in Parole chiave, 23, 2004), pp. 59-82.
1999 "Epoca!: 1945-1999; manifesti in Italia tra vecchio secolo e nuovo millennio", in Aldo Colonetti, a cura di, Siena, Protagon.
2001 “Stay Tune! Ovvero, la conversazione per interconnessione”, in Rocco Antonucci, Orietta Pedemonte, a cura di, Il Tao del Web, Genova, Il nuovo Melangolo, pp. 35-44.
2002 “…”, in Manifesti politici di Andrea Rauch: il sonno della ragione, testi di Omar Calabrese, Maurizio Bettini, Antonio Tabacchi, Siena, Protagon.
2006a “Pianeta giovani”, in Valerio Castronovo, a cura di, Album italiano: giovani, Bari, Laterza, pp. 13-21.
2006b “Neobarocco, semiotica e cultura popolare", intervista con Krešimir Purgar, CVS - Center for Visual Studies [link].
2008 “Design e cultura: l’esempio Cassina”, in Giampiero Bosoni, a cura di, Made in Cassina, Milano, Skira, pp. 215-221.
2010a L’eleganza maschile. Per una filosofia della forma del vivere, Festival di Filosofia, Modena.
2010b “Dieci parole che hanno confuso l’Italia”, in Federico Montanari, a cura di, Politica 2.0. Nuove tecnologie e nuove forme di comunicazione, Roma, Carocci, pp. 43-54.